Les différences entre le salariat et le travail indépendant sont grandes, et multiples. Elles sont souvent inhérentes à ces statuts, et sont peut-être la raison de votre choix pour l’un, ou pour l’autre : sécurité, liberté, horaires, cadre, prestations sociales…
Mais parfois non. Parfois, il n’y a pas de raison qu’un avantage se trouve d’un côté de la barrière, et pas de l’autre. L’exemple auquel nous avons décidé de nous attaquer aujourd’hui est celui du “Comité d’Entreprise“. Pourquoi pas créer un Comité de Coworking ? Pour l’usage, nous l’appellerons : le CoCow.
Le Comité d’Entreprise
Le Comité d’Entreprise, avant tout, régit la vie économique de l’entreprise. C’est quelque chose que nous faisons avec les membres, certes légèrement différemment que dans une entreprise classique, depuis le début de la Cordée avec l’organisation fréquente d’Envers du Décor : des réunions tous les 6 mois où sont invités tous les encordés pour parler du passé – présent – futur de la Cordée.
Mais vous nous aurez bien vus venir : la question que nous voulons adresser aujourd’hui, c’est celle des avantages commerciaux négociés par les représentants du personnel pour l’ensemble des salariés. Voyages, sport, culture, les entreprises disposent généralement d’un panel important d’offres commerciales accessibles aux employés.
Et il nous semble bien que pour ce type de négociation, nul besoin d’être une entreprise au nom connu et à un nombre important de salariés : il s’agit simplement d’être un groupe de personnes assez large, identifié et identifiable. Ce que nous sommes :).
Les balbutiements de CoCow
CoCow commence donc sa vie petitement mais sûrement. Les premières offres font leur apparition : réductions dans des magasins de sport, dans des bars et restaurants, sur des spectacles. Les offres commencent doucement à s’accumuler sur notre réseau social interne.
Nous continuons donc cette démarche, avec pour but d’avoir des offres de plus en plus alléchantes. D’ailleurs, n’hésitez pas à nous contacter si vous avez des idées et des contacts à ce sujet, nous sommes preneurs !